Wednesday, May 26, 2021

BIENVENUE À NOÉ, BACCHUS, SAINT-VINCENT ET L'ORDRE DU MÉRITE ŒNOPHILE EN NOUVELLE FRANCE. LE GRAND CHANCELIER JEAN CLAUDE DENOGENS


« La France touristique gastronomique,
        ses châteaux, ses églises, ses mille paysages
        de vignobles constituent un pays rassurant. »

                                         Jean Claude Denogens

« Tout être humain, homme ou femme, a dans son palais
              un œnophile qui sommeille. Il ne tient qu’à vous de le réveiller. »

                          Pierre Andrieu


Bien qu’elle soit toujours en évolution, la jeune histoire vitivinicole du Québec progresse fièrement.
1535, en arrivant par le fleuve Saint-Laurent, les premiers explorateurs et colons français découvrent la présence de vignes sauvages, « la vitis riparia ». Cet endroit est connu aujourd’hui sous le nom d’île d’Orléans appelé « Isle de Bacchus » par Jacques Cartier. « En avant, Arche ! » se sont écrier ces courageux Québécois, et pionnier de la vigne. De nombreuses tentatives furent entreprises, avec la tenue d’Expo 67, puis l’arrivée de nombreux immigrants européens, le Québec accueil de plus en plus. L’Exposition universelle de Montréal en 1967 a permis aux Québec d’élargir leurs horizons en matière de gastronomie et de vin. Peu à peu, le bon  bon vin prend place à table et progresse d ‘année en année. D’où  notre belle citation choisi dans nos écrits « Le vin est a la table, ce que la fleur est au jardin. » Parmi ces artistes figuraient le talentueux Gilles Vigneault, qui est notamment l’idéateur du nom «L’Orpailleur». Sur le site Web de l’entreprise, on trouve cette citation du célèbre poète québécois : « L’Orpailleur, c’est celui qui lave les alluvions aurifères pour en extraire, par temps, science, et patience, les paillettes d’or qui s’y trouvent. » (Ici c’est le raisin)


Une notoriété bien établie le vignoble de l’Orpailleur
Municipalité de Dunham Cantons-de-l’Est.


En créant L’Orpailleur en 1982, Charles-Henri de Coussergues a constitué l’un des premiers vignobles du Québec. En compagnie de ses fidèles associés, l’entrepreneur peut maintenant se féliciter de produire plus de 300 000 bouteilles par an. Sage ou fou, selon les extrêmes rigueurs de l’hiver québécois ? Sur une période de plus de 35 ans, Charles-Henri de Coussergues a mis sur le marché une 

dizaine de produits, à savoir des vins blancs, un vin rosé, un vin rouge et un vin de glace, dont ni la popularité ni la réputation ne se démentent. Le vin de glace L’Orpailleur et la Cuvée Natashquan, notamment, ont reçu des médailles d’or au

concours Sélections mondiales. Nous, nous sommes souvent croisé, oui ! L’Orpailleur est un laboratoire et Charles-Henri de Coussergues fait honneur à la viticulture du Québec.


IIs sont fous c’est pionniers vignerons de Nouvelle-France !

Non ! Ils sont simplement têtues, persévérants et gagnants. Tel que le décrit Charles-Henri de Coussergues : « À nos débuts, on a observé que les vignes mouraient dès que le mercure atteignait -25 °C. À force d’essais, on a fini par comprendre qu’il nous fallait planter le pied de vignes dans 50 cm de terre, là où la température n’est jamais inférieure à – 7 °C. C’est ainsi qu’on a pu commencer à faire pousser nos vignes malgré le froid, et qu’on a pu démarrer L’Orpailleur. » BRAVO.


Le vigneron Charles-Henri-de-Coussergues
est un artiste complet qui s’occupe de sa vigne
et de son vin à tous leurs stades d’évolution pour
assurer le bonheur des œnophiles.


Dans l’abécédaire de notre Gazette des Œnophiles, porte parole de « l’Ordre du Mérite Œnophile », dans les débuts de notre  long parcours du Combattant, nous avions des cours et des conférences proposés par notre « Collège des Maîtres-Œnophiles » pour y expliquer « l’ivresse  ». Le vin enivre, l’homme le sait depuis toujours. Pendant des millénaires, le vertige de l’ivresse a été sacré : par lui, l’homme rejoignait les dieux. La Bible et le christianisme, au contraire, ont condamné l’ébriété : source de joie, le vin « mord comme un serpent », dès que l’on en abuse, poussant à la débauche et au crime. A la Renaissance les poètes chantent l’ivresse créatrice. Roi et prince étant souvent de grands buveurs, l’Église doit composer : elle continue de condamner l’abus de vin, mais admet le goût pour ceux de qualité. Au XVIIIe siècle, le péché d’ivresse est devenu plus véniel que mortel. Aujourd’hui, les données ont changé, non le débat. L’alcoolisme continue de tuer sur les routes et ailleurs mais, pour ses partisans, le vin de France, reste une source de joie et une marque de civilisation. Quand la qualité prime sur la quantité, le véritable danger n’est pas dans les vignes.

Pas question pour moi d’avoir le vin comme art de vivre, mais comme savoir-vivre oui. Le vin est depuis toujours une composante de la civilisation méditerranéenne. Élément de l’alimentation, fait culturel, religieux ou mythologique La consommation de vin est courante en France depuis l’Antiquité. Considéré comme 

l’ « âge d’or du vin », le XIXe siècle est marqué par l’élaboration de nouvelles techniques de vinification, l’amélioration de la qualité, de la conservation et de la distribution, qui conduisent à une progression constante et importante de la  

production et de la consommation. Le vin  de France, devient alors plus que jamais un enjeu économique, mais aussi une question culturelle, sociale et morale.

Je suis bien heureux de constater selon la publication du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation « alim’agri 1571 février 2021 ». Je cite « Les boissons vins & alcools sont les produits les plus exportés par la France ». C’est en vain que ma modeste contribution étaler sur plusieurs décennis, à apporter quelques fruits et cela continue. Soutien à la culture vini-gastronomique était notre but. Notre état d’esprit devait d’ailleurs guider le délicat travail de soutien en devenir. La culture du savoir manger et du savoir boire, n’est pas une industrie comme les autres. C’est pour nous, le cœur vibrant de notre société; nous devions affronter une multitude de nouveaux regards sur d’où l’on vient, ce que nous sommes et peut-être plus encore 

sur ce que nous voulons devenir. J’ai des tas de souvenirs heureux, associés à cette nature où j’ai passé mon enfance qui ont forgé mon caractère. Et puis, j’ai surtout la chance d’être né, sur un sol de France qui est irrigué par des rivières et des fleuves

de vin. C’est cela mon coin de pays, un vieux pays de cocagne. Pourquoi la France a-t-elle ses subtils élixirs? Pourquoi la France entre les Pyrénées, les Alpes l’Aquitaine et le Rhin, sur cet étroit territoire nous livre-t-elle cette sublime alchimie ? Réponse : les autres pays ont des terres. La France a des terroirs. Or le

terroir est l’élément métaphysique de la terre. Oui c’est à mon bon vieux pays la France que nous devons la révélation du vin unique au monde. D’ailleurs cette citation de Fernand Sieburg rend un bel hommage a nos vins. «  Les vins français sont d’une telle variété et d’une telle splendeur, que c’est presque une activité spirituelle que de les goûter. »


Carte de France vitivinicole  de notre itinéraire
120 étapes en 10 voyages


Pour mon aventure France-Québec, J’avais l’aide de 2 véritables amoureux du vin de France bien entendu. Le réputé Docteur Samuel Letendre, président des Médecins Canadiens amis des vins de France, devenu Grand Maître de « l’Ordre du Mérite Œnophile » et l’Abbé Bertrand Pomerleau, œnophile émérite, président 

des gueux du crouton, devenu notre Grand Prieur et Officier de Bouche. Moi-même avec le bel héritage de mes différents stages de la science œnophile. Tous trois nous 

partîmes, prêcher et accomplir notre long et beau pèlerinage dans la Province du Québec, et la riche découverte des vignobles de France. Notre mission-passion a été de répandre la sagesse des importantes phases du savoir-boire soit de « Mirer » « Humer » « Goûter » et « Extase ». Ce qui nous a conduit à initier en plusieurs 

séances théoriques et pratiques la connaissance des vins. Des centaines d’amoureux du vin devenu ŒNOPHILE, avec au moins un voyage dans le vignoble Français à 

la fin de la session du cours. Nous en avons accompli dix (10), bouclant ainsi un tour de France viti-vinicole  complet et avec succès.

 

Nos cours sur l’œnophilie 
Par Jean Claude Denogens et Bertrand Pomerleau


Notre habile Beauceron l’Abbé Bertrand Pomerleau, avec son carisme élégant et sage, avait négocié l’indispensable tache pour ne pas dire l’œuvre principal, d’avoir l’accueil dans les 300 centres culturels et paroisses du Québec. Ceci, en grande partie parrainé par le célèbre et réputé père Marcel de la Sablonnière. Nous avions bien entendu obtenu un permis du ministère de l’éducation du Québec, pour diffuser nos cours conférences sous l’appellation « École itinérante d’initiation au vin » fort heureusement, pour nos tournés nous pouvions compter sur les prestigieux produits de nos généreux commanditaires. 

Tuesday, May 18, 2021

LE VIN DE FRANCE, ET SA PASSION HISTORIQUE VERS LA NOUVELLE-FRANCE



«  l’homme doit au vin d’être le seul animal
à boire sans soif  »     

                                            Pline l’Ancien

« Se nourrir est un besoin, savoir manger est un art »

                                                   François Rabelais

« Le Périgord… un paradis tentateur où la gourmandise
n’est jamais punie ni déçue » 

                                                   La Mazille écrivaine
                       auteur La bonne cuisine du Périgord


« Il est bon de traiter l’amitié comme les vins et de se
méfier des mélanges »

                      Colette


Investiture du Grand Chancelier Denogens

C’était à Bordeaux (Gironde) France, Capitale mondiale des vins, le 22 janvier 1971, à la treizième heure, au 119, rue Frère, en plein cœur des Chartrons, résidence de l’ami et distingué poète écrivain-vigneron Bordelais, le docteur Jean-Max Eylaud, secrétaire général des « Médecins amis des vins de France ». Devant les bouteilles du « Clos de Terreblanque » appellation Bordeaux contrôlée en blanc et rouge, propriété du docteur Eylaud à Gornac, Gironde. Juste avant la mise à table. Un jeune Gascon qui avait fait un stage au journal quotidien « La France  », originaire du Périgord pourpre prêtait le « Serment » d’investiture de Grand Chancelier de l’ « Ordre du Mérite Œnophile ».

« Gentilhomme DENOGENS ! natif du vignoble de Gurson, au doux pays de Michel de Montaigne » s’exclama le Prince EYLAUD, issu d’une famille vigneronne installée dès 1589, donc de la 12e génération, en ligne directe du vignoble de Gornac dans l’Entre-deux-Mers girondin.

Levez la main droite et répétez après moi la brève formule qui constitue votre serment de fondation.

« Rubis ou Topaze, même délice même extase,
Non biberis diluta.
Au nom de Noé père de la vigne,
de Dionysos-Bacchus Dieu du vin,
de Saint-Vincent patron des Vignerons,
d’Ausone écrivain qui chanta les vins de Bordeaux,
de Rabelais notre Maître poète bachique,
Je jure sur la dive bouteille,
De contribuer à faire mieux comprendre l’œnophilie,
Au nom d’Apollon et des neuf Muses,
De diffuser les lettres, les Arts, la musique.
Je m’engage à faire respecter,
Les dix commandements de l’œnophile.
De me conduire en franc et fidèle Grand Chancelier,
En l’honneur de Monseigneur le vin,
Je promets d’apprécier, de faire connaître
et aimer tous les vins authentiques et honnêtes.
D’honorer et d’épauler l’activité de la gente,
Laborieuse et vaillante des vignerons ».
Amen.

Voici donc le serment que fit Jean Claude Claude DENOGENS, alors âgé de 29 printemps. Après ce serment, honorablement arrosé, le Fondateur et Grand Chancelier forma son aéropage du Grand Conseil de l’ Ordre du Mérite Œnophile  qui fut chargé de porter la bonne parole et de tenir des chapitres dans la belle Province de Québec. Les fidèles dignitaires qui l’assistèrent durant de longues années étaient le docteur Samuel LETENDRE, président des médecins Canadiens amis des vins de France, Grand Maître et l’abbé Bertrand POMERLEAU, Grand Prieur et échanson, président de Les Gueux du Croûton.

Nous avions notre très représentatif blason de « l’Ordre du Mérite Œnophile » qui est aussi un hommage à la vigne et aux vignerons. Et surtout, je savais que pour bien connaître le vin, il faut visiter la terre qui le produit.


«  Écu sur le tout à supports de vigne,
écartée au chef,
chargé à Dextre de Bacchus, dieu du vin, sur Gueule;
à Senestre d’un tastevin argent sur sable;
la pointe chargée à Dextre d’une clef or sur azur;
à Senestre de Saint-Vincent,
patron des vignerons sur Sinople. »
et pour double devise :
«  Rubis ou Topaze même Délice même Extase
Non Biberis Diluta »

S’il est un aliment chargé de symboles, c’est bien le vin ! Dans la société française où je fut élevé, le discours sur le goût est également un fait collectif de nos valeurs.

Je suis un enfant de la vigne française, je suis donc venu honnêtement avec armes et bagages, les armes France-Québec de l’Ordre du Mérite Œnophile, c’est-à-dire nos armoiries, qui m’on suivi ont été adoptées dans leur version en 1972 par un collège Héraldique. Le tout à Bordeaux, notre écu français ancien, dans sa composition est une référence bachique pour l’ensemble des vins fins de France. Il est l’image et le symbole fort de la science œnophile exercé dans cette terre latine.

Un autre symbole fort artistique, identifiant notre gazette des œnophiles De vigne en bouche; qui est assorti d’un charmant poème de notre ami écrivain-vigneron Bordelais Dr Jean-Max Eylaud.


Voilà ce que nous avons souhaité offrir à nos amis œnophiles.
L’appellation et le symbole artistique donnés à notre gazette des œnophiles De Vigne en Bouche, reflète la vigne, et le vin au fil de la liane du sarment, une Muse verre de vin en main, assise sur une barrique berceau du vin. Inspiration des nombreuses guinguettes du petit vin blanc de Nogent qui bordent la Seine où l’on peut boire le gouleyant vin, chanter et danser en plein air. Dans le V de vigne, figure un verre de vin, verre de préférence toujours avec tige et pied transparent uni blanc, dans lequel l’œnophile mire, hume et goûte le petit vin populaire sentant bon la France vitivinicole. Puis la bouteille, noble récipient de verre de formes variées, selon certaine appellation renferme le vin blanc ou le vin rouge. Vient ensuite la serpette des temps antiques, qui servait aux premiers vignerons à tailler la vigne. A rogner les gourmands, puis les sarments et enfin, à vendanger. Ce sarment travaillé et torsadé de la vigne, cet étrange arbrisseau convulsé, aux branches torses, crispé comme une mandragore, charme l’œil, et nous met en permanente admiration avec l’âme de la terre, la vigne et donne l’appellation, la symphonie et l’image artistique en quatre mots De Vigne en Bouche.

Poème de naissance de la Gazette des Œnophiles
Par le docteur Jean-Max Eylaud.
Bordeaux le 22 Janvier 1972.

De vigne en bouche ! Une naissance !
Le bourgeon qui fait le raisin
ne fait-il naître l’espérance 
de boire, un jour, verre de vin ?

Que ce journal heureux paraisse,
en vous apportant, chaque fois,
nouvelle et meilleure promesse
de quelques échos de ma voix. 

Car, va venir l’heure où l’Histoire
me comptera dans le passé…
où ne sera plus ma mémoire
que de raisin souvent pressé !

Mais que le souvenir persiste
d’un serviteur bachique, amis,
toujours dispos et jamais triste,
buvant jus de grappes choisis.


Bienvenue à Noé, Bacchus et Saint-Vincent
Par le docteur Samuel LETENDRE Grand Maître

«  En avant, Arche !» a dû s’écrier notre vénéré patriarche Noé, qui, après avoir mis cent ans à construire le fameux vaisseau, donna l’ordre de fermer toutes les issues. L’heure du déluge avait sonné. Vous savez le reste…Ce que vous avez peut-être oublié, c’est la lourde dette de reconnaissance que le genre humain a contracté envers ce patriarche avisé et vraiment œnophile, puisqu’il sauva la vigne. Certains esprits chagrins n’auront pas manqué de s’étonner, peut-être même de s’indigner, en apprenant la naissance de l’Ordre Bachique des Œnophiles. Tiens, diront-ils, encore une; cela n’a plus de sens !

Nous souvenant du vieil adage : « Bien faire et laisser braire », confions ces bilieux à l’assurance-maladie, et sachons accorder au Savoir-Boire la place de choix que sait toujours réserver tout être humain qui se prétend civilisé. Si j’ai accepté d’épauler de mes humbles connaissances et de présider ce jeune mouvement, c’est que je crois aux vertus millénaires du produit de la vigne; je crois aux propriétés physiologiques et morales du vin; je crois en son action civilisatrice et humanisante, surtout en notre siècle de matérialisme desséchant, en notre époque d’acier et de béton, où l’être humain ne semble pas réaliser qu’on est en voie d’en faire un robot. Je m’en voudrais de ne pas souligner le choix fort judicieux de l’appellation donnée à cette gazette pour œnophile « De Vigne en Bouche ! »


Samuel LETENDRE Grand Maître

N’avons-nous pas là, résumée en quatre mots, la synthèse de cette symphonie exaltante et ininterrompue de la Vigne et du Vin, dont les premières notes se jouent en « pianissimo » dans le silence du cailloutis terreux et de son cep noueux; puis, la nature aidant, sous la baguette habile de l’artiste-vigneron,  n’entendons-nous pas s’amorcer un « crescendo » qui atteindra son apothéose à la vendange si fiévreusement attendue, pour se prolonger en des accords de joyeuse reconnaissance jusqu’au moment béni où le divin nectar viendra dans toute sa noblesse s’offrir aux lèvres du dégustateur averti comme à celles du pieux amateur. Aux membres du Grand Conseil de l’Ordre à ses dévoués collaborateurs et collaboratrices, aux membres qui déjà sont des nôtres, au premier membre fondateur, Jean Claude DENOGENS, enfant de la vigne Périgorde et Bordelaise, notre Grand Chancelier et Gazetier qui des nôtres depuis septembre 1963, j’adresse mes compliments. 

Le vin de France se devait d’avoir une garde et une cour hors les murs pour défendre ses vertus et chanter ses louanges. J’offre également mes vœux à l’Abbé Bertrand POMERLEAU et aux éminents parrains de l’Ordre, le Professeur Georges PORTMANN et le docteur Jean-Max EYLAUD. Je les félicite de s’associer aux succès grandissant de notre mouvement qui se veut à la fois éducatif et humain. J’offre également mes souhaits de cordiale bienvenue aux âmes bien nées qui, résolument et de gaieté de cœur, s’enrôleront sous la bannière de Noé, de Bacchus et de Saint-Vincent sous la double devise de : « Rubis ou Topaze même Délice même Extase » « Non Biberis Diluta ».