Friday, June 18, 2021

MAÎTRE-ŒNOPHILE ET AUSSI REPORTER


 «  Le vin est à lui seul un remède.
Il nourrit les forces, le sang de l’homme.
Il réjouit l’estomac, amortit le chagrin et les soucis  ».

                                                            (Pline l’ancien)

«  Le vin est un lubrifiant social  »
                                                       (Jean Clavel )

« Le patrimoine de la France, c’est la cuisine, ce sont ces vins,
le repas à la française est inscrit depuis 2010 au Patrimoine mondial
de l’UNESCO, mais c’est un patrimoine qu’il ne faut pas seulement
contempler ou glorifier ou savourer, c’est un patrimoine qu’il faut
faire fructifier et mettre en valeur »,

                                                 ( Laurent Fabius)
                         Ministre des Affaires étrangères
                               Et du Développement International.


Sage ou fou, sur le terrain de cette vaste Nouvelle-France, aujourd’hui Québec, voici nos expériences hors du commun. Sur les régions nous avions la trempe de personnage de roman, notre aventure s’enracine jusqu'à Dolbeau dans cette grande province, nous nous sommes donné corps et âme pour notre belle « science œnophile ».Notre parcours était semé d’anecdotes  et aussi de médailles et de trophées. Je pouvais enfin mettre en pratique mes toutes récentes études d’œnologie et de gastronomie, et montrer ce que j’étais capable de faire après trois ans de stage dans diverses disciplines de la viticulture française, En 1963, ici, ils furent peu nombreux, ces prétendants à prendre le départ avec le bâton de pèlerin. Pour entreprendre la longue et grande aventure vineuse au quatre coins du Québec. C’était l’époque de Henri Lefort, je  n ‘en ai pas connu d’autres, dans notre belle profession. En tout cas pas ceux qui daignent me juger comme un vantard venu de loin. Oui, en 1963, il avait un sage ou un fou de Périgourdin enfant de la vigne Bergeracoise, taste-vin et verre en main, dégagé de ses obligations militaires près pour une belle aventure dans le Nouveau Monde francophone d’Amérique du Nord.

Ce sage ou ce fou aventurier, déjà jeune journaliste, ne l’oublions pas, au journal « La France » la propriété du grand quotidien « Sud-Ouest de Bordeaux » France. Fort déjà, de l’expérience et la spécialité « Les plaisirs des celliers et de la table » fut accueilli au Québec par la distinguée famille du docteur A.D. Archambault, 4600 boulevard LaSalle à Verdun, dont l’épouse, madame Marie Archambault présidente de l’Association « France-Canada » avait accepté de me parrainer. Mon premier domicile à Verdun fut au 4135 avenue Verdun. La famille Archambault était vraiment passionné de la France et aussi de ses vins. 




Ma marraine d’immigration Marie Archambault avait pu découvrir mes premiers parcours régionaux concernant mes stages en France ainsi que mon important  bénévolat déjà accompli. C’est donc de Verdun qu’avec mes 2 compagnons œnophiles émérites, nous partîmes prêcher et accomplir notre long et nouveaux pèlerinage de l’art de l’œnophilie. Puis, journaliste toujours curieux et amoureux du vin et de la table, j’ai fondé en 1972 « La Gazette des Œnophiles De Vigne en Bouche », porte-parole de la confrérie bachique. « L’Ordre du Mérite Œnophile ». fondé lui, en janvier 1971 à Bordeaux. Rien ni personne ne peut l’oublier à moins d’être de mauvaise foi. Car selon Voltaire « C’est n’être bon à rien de n’être bon qu’à soi » Le jour où l’on a rédigé la déclaration des droits de l’homme, le premier article mentionnait avec raison cette vérité fondamentale. « Tous les êtres humains sont égaux en dignité et en droit  ».Homme ou femme, de quelques pays ou de race que ce soit. Il nous reste selon moi, encore beaucoup de chemin à parcourir pour mettre en application cette déclaration.


Présentation de Jean Claude Denogens

L’auteur Jean Claude Denogens est né le 25 août 1936 à Saint-Martin-de-Gurson, Dordogne, aimable village planté au beau milieu des vignes du Bergeracois. Bien né, puisque né au pays du légendaire Cyrano de Bergerac, Issu d’une famille vigneronne dans le beau Périgord pourpre et or, il y demeure jusqu’à son service militaire. Chemin faisant, il s’installe à bordeaux Gironde ou il débute le journalisme au quotidien « La France ». Bien éduqué et bien instruit, puisque bercé en poésie au pays des trois « M » Montaigne, Montesquieu, Mauriac, illustres auteurs Vignerons et Bordelais. Il y rencontre celui qui sera son mentor, le célèbre Jean-Max Eylaud, docteur sociologie, fondateur de la « société des médecins amis des vins de France ». Avec un goût passionné, pour la défense et l’illustration des vins de France en 1971, il fonde l’ « Ordre du Mérite Œnophile » sous l’égide du poète  écrivain-vigneron Bordelais le docteur Eylaud. Puis 1972, la fondation de la « Gazette des Œnophiles De Vignes en Bouche ». Première profession de foi de sa vocation vineuse. Installé au Québec depuis 1963.

Jean Claude Denogens s’emploie, désormais sous le vocable de l’œnophilie, à servir avec une ferveur égale, à la fois Apollon (les lettres), Bacchus (le vin), et Saint-Vincent (patron des vignerons). Conférencier de renom, sous le thème « Mirer! Humer! Goûter! Extase! » il fit le tour de la Belle province de Québec y donnant une série de cours-conférences. En 2007 Jean Claude Denogens, qui a collaboré à plusieurs quotidiens et magazines est le doyen des chroniqueurs spécialisés en vin. Titulaire durant 20 ans de la chronique « Vin » au « Magazine Touring du CAA Québec », il fut également collaborateur au quotidien Montréalais « Le Devoir » et à l’hebdomadaire « Dimanche Matin » et « La Patrie ». D’autre part il dirigea la chronique « les arts de la tables » au magazine « Décoration chez soi » avant de signer les chroniques vins dans les Hebdos Transcontinental. Ancien Parachutiste militaire appelé de la classe 581/B. A.F.N. Breveté no 143 700. Affecté à Koléa au 2e R.P.i.ma ( 2e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine) Bérets rouges. Compagnie d’appui du 1er R.E.P. Légion Étrangère à Zéralda. Devise : « Qui ose gagne ». Il se verra décerner la « Croix de la Valeur Militaire » et par le décret présidentiel du 4 novembre 2010, portant concession de la « Médaille Militaire » dont la devise est « Valeur et Discipline ». Pour un ancien Paras, recevoir la médaille militaire, c'est obtenir une promotion dans les Ordres Nationaux de France. C’est la prestigieuse décoration « médaille des braves, ou bijou de la nation », fondateur et Grand Chancelier des Œnophiles Jean Claude Denogens est un des rares journaliste français au Canada à porter le titre d’Officier dans « l’Ordre du Mérite Agricole Français », il a été adoubé dans de nombreuses confréries bachiques.

Le 2 juin 2002 placée sous le haut patronage du Président de la République Française M. Jacques Chirac, sur proposition du président national M. Robert Stroppiana, appuyé par M. Jean Glavany, Ministre de l’Agriculture et de la Pêche il à été fondé L’AMOMA-Canada par Jean Claude Denogens. C’est à l’occasion du Congrès national de l’Amoma, pour la célébration du centième anniversaire de la création du grade de commandeur que s’est déroulé ce vœux à la Bergerie Nationale de Rambouillet. Information : http : www.amoma.ca


«  Agriculteur, orne ta blouse
Sans hésiter, de cette croix;
Qu’importe si l’on te jalouse
Du pays t’acclame la voix  »








Jean Claude Denogens Journaliste

Véritable globe-trotter, un parcours historique France-Amérique
Une vie au service du vin !

Cela fait près d’un demi-siècle que ce petit bout d’homme coloré. né dans les vignes du Périgord au pays de Cyrano de Bergerac, à l’esprit vif et au pas alerte, installé à Montréal depuis 1963, transmet avec classe et éloquence sa passion des vins aux Québécois. Fondateur et grand chancelier de « l’Ordre du Mérite Œnophile ». On lui reconnaîtra la grande médiatisation du distingué mot « ŒNOPHILE » répandu depuis sur toute les lèvres des amoureux du vin, tant en France qu’au Québec.

No comments:

Post a Comment